Dormir pour aller bien

Vous le savez sans doute, le sujet est connu ! Un bon sommeil, avec le bon nombre d’heure de sommeil en fonction de chacun, permet d’être en bonne santé !

Et à l’heure où j’écris, je n’ai qu’une envie : dormir !!

Mes nuits sont agitées en ce moment, je dors mal, le matin j’ai du mal à me lever… et l’après-midi, quand je peux j’en profite pour faire une sieste ! Et je peux dire que ce manque de sommeil influence mon état physique et psychique ! J’ai moins la force pour dire  » STOP » à mes pensées envahissantes, le ressassement est proche.

Heureusement, je le sais, et je sais comment y remédier.

Comment je fais ?

D’abord, je fais un contrôle de mon état émotionnel et de mes sensations physiques associées : « ça fait quoi dans mon corps là ? » et je laisse faire mon corps en lâchant la pensée, en me concentrant uniquement sur l’évolution de mes sensations corporelles. Une fois mon émotion régulée, je peux décider ce qui est bon pour moi.

Décider ce qui est bon pour moi à l’instant t !

  1. Soit faire une sieste, parce que vraiment, les yeux se ferment tous seuls, et que je n’arrive à rien.
  2. Soit faire de la cohérence cardiaque, pour ressentir le calme intérieur, diminuer le chaos intérieur, éloigner le stress.
  3. Ou alors, je fais des mouvements croisés, pour activer mon cerveau, renforcer mon corps calleux et être plus concentrée.
  4. ou je vais marcher ! Me mettre en mouvement m’aide à éclaircir mes pensées. Marcher en pleine nature, encore mieux, pour me ressourcer et m’inspirer du vivant ! Aérer mes neurones, mettre mon corps en mouvement, aligner ma tête et mon corps.
  5. Décider de me coucher plus tôt le soir en commençant par ce soir !

Je sais que j’ai besoin de 8 heures de sommeil pour être bien. Dès que j’en ai moins, je le sens. Je suis plus irritable, moins patiente, moins présente aussi. Et cela peut vite nuire à mon entourage proche, et à mes ami(e)s. Je fais de gros effort pour éviter les répercussions sur mon travail. Je fais en sorte d’avoir mon nombre d’heures de sommeil la veille de mes journées de rendez-vous, et voire les jours précédents quand les rendez-vous s’enchainent. Et si je peux, je ferme les yeux quelques minutes entre deux rendez-vous espacés d’une demi-heure. Je me dois d’être en forme pour accueillir mes clients et clientes.

En séance, j’évoque souvent le rituel du coucher. Parce qu’un bon sommeil commence par un bon endormissement, et celui-ci par une bonne hygiène de vie. Le rituel prend alors toute son importance.

Pour ma part, mon rituel est :

  • boire une infusion apaisante (le plus souvent)
  • mettre mon pyjama, me brosser les dents, les cheveux et faire mes soins visage et mains (j’hydrate mes mains que l’escalade agresse)
  • lire plusieurs pages de mon livre en cours, cela me permet de m’évader et de couper avec les écrans qui envahissent un peu trop ma vie, notre vie !
  • me fixer une heure où j’éteins ma lumière, et qui peut varier en fonction de mon heure de lever, sans de trop grandes variations pour éviter les changements qui déséquilibrent mon organisme.
  • et en période hivernale, baisser le chauffage à 17.5°C/18°C (et pas que parce que c’est la crise cette année, je le fais depuis des années ! C’est reconnu que nous dormons mieux avec une température à 18°C)
  • remercier Dieu pour la journée écoulée, et me souvenir des meilleurs moments de ma journée, au moins trois. Même dans les mauvais jours, je trouve des bons moments et de quoi être dans la gratitude. J’avais écrit un article sur la gratitude et ses bienfaits, si vous ne l’avez pas lu, vous pouvez le consulter ici.

J’avoue, parfois je saute des étapes, je suis loin d’être parfaite, c’est ce qui fait que mes nuits sont plus agitées en ce moment sans doute !

Trouvez votre rituel, qui vous convient, qui sera facile à mettre en place, pour ne pas être contraignant. Il doit vous inviter à la détente, permettre à votre cerveau de baisser son activité et trouver l’endormissement facilement.

Prenez soin de votre sommeil !
Photo de Acharaporn Kamornboonyarush sur Pexels.com

En conclusion : prenez soin de votre sommeil !

Bonne nuit,

Magaly

Influencé(e) ou inspiré(e) ?

Lors d’une récente discussion, nous avons évoqué cette question. La différence entre les deux notions, ce que cela impliquait et ses conséquences.

L’influence de quelqu’un nous fait agir d’une manière qui n’est pas la nôtre, souvent par peur de ne pas être aimé(e) ou à la hauteur (de quoi ?) tandis que l’inspiration nous permet de découvrir que, parfois, il y a une autre façon de faire, de travailler, d’éduquer nos enfants, de penser, de s’habiller… et nous aide à grandir et à avancer sur notre chemin. D’ailleurs, quand nous étions des petits enfants, pour grandir nous nous sommes inspirés des adultes qui nous élevaient, des autres enfants qui nous entouraient, des plus grands qui nous faisaient rêver ! « Je voudrais être comme lui, ou comme elle quand je serai plus grand(e) ! » est une phrase de nombreuses fois entendue !

Toutefois, il arrive un moment, où influencé(e) ou inspiré(e), il sera temps de trouver sa propre voie.

Pour se trouver soi-même, seul le silence extérieur peut nous aider. Nous aider à écouter notre cœur, notre âme, notre petite voix intérieure qui n’est pas entendue avec tout ce bruit environnant.

Faire silence, c’est lâcher la musique qui nous accompagne, dont on ne peut se passer (pourquoi ?), les vidéos, les réseaux sociaux, les soirées animées, et avec toujours plein de monde… et oser, oui, oser partir à l’aventure de son moi intérieur.

Pour enfin se découvrir, se connaitre, se comprendre et savoir ce que nous voulons faire pour nous !

Se dégager de l’influence de notre entourage, qui a toujours des bons conseils même s’il ne les applique pas lui-même, de se libérer du poids du regard de l’autre (c’est nous qui y mettons un tas d’interprétation et donc du poids !). Et s’ouvrir à soi !

Pour certaines personnes, l’aide d’un tiers est nécessaire pour éclaircir ce qui se joue en nous, mieux comprendre notre fonctionnement, apaiser nos émotions trop fortes et encombrantes qui nous empêchent de réfléchir convenablement, trouver les réponses qui sont en nous mais que nous ne voyons pas, ou ne voulons pas voir.

Cela fait peur de se retrouver dans le silence, au début. Et puis après quelques temps, nous apprécions ces temps de silence qui sont autant de temps pour nous écouter vraiment, nous trouver soi-même, et apprendre à s’aimer !

Marcher en silence pour mieux se retrouver et se connaitre… et avancer sur son propre chemin !
Photo de Pixabay sur Pexels.com

J’aime particulièrement aller marcher dans la nature, un parc, une forêt, sans musique, seule, pour me retrouver ! Etre en mouvement en plus d’être dans le silence, procure un apaisement immédiat, m’aide à réfléchir, à mettre des mots sur mes maux et agir pour aller mieux. Travailler en silence aussi, me permet de mieux réfléchir, de mieux m’écouter. Conduire en silence aussi, parfait pour me préparer à une soirée, à un rendez-vous…

J’aime aussi écouté de la musique, souvent, mais en mûrissant, ces temps de silence dans chaque moment de ma vie me font beaucoup de bien !

Je vous souhaite de vous écouter, de vous écouter vraiment, d’écouter votre petite voix intérieure pour vous permettre de suivre votre voie personnelle !

Belle fin d’année, que cette journée vous réjouisse !

Magaly

PS : si vous avez besoin d’aide dans cette quête de soi, je suis disponible en prenant rendez-vous sur ma page contact ! A bientôt…

Pouvons-nous vivre avec le poids de notre passé ?

C’est une question que je ne me pose plus depuis longtemps, mais qui a refait surface ce matin après un échange un peu houleux avec ma fille.

Sans entrer dans les détails, cette discussion m’a fait voir qu’encore une fois, nous sommes tous susceptibles de s’appuyer sur les situations et les évènements du passé pour justifier notre état actuel.

Alors, je reconnais que certaines évènements du passé peuvent encore avoir des conséquences, surtout psychologiques, dans nos vies actuelles.

Mais j’ai appris une chose, le passé nous aide à nous construire mais ne nous définit pas, et surtout ne nous permet pas de vivre le présent.

A trop s’appuyer dessus comme sur des béquilles, nous ne pouvons pas progresser, ni même avancer. Il est important d’en prendre conscience.

Parfois, nous n’avons pas conscience que nous agissons de telle manière à cause de notre passé et notre passé familial. C’est en travaillant sur soi que cela peut être mis en évidence.

Après un travail en transgénérationnel j’ai pu comprendre les schémas répétitifs de ma vie et m’en défaire. La prise de conscience, (quand ce qui est inconscient remonte à la surface du conscient), aide à agir sur. Encore faut-il le vouloir, et agir dans ce sens, en se faisant aider par exemple, en commençant une thérapie psy, en étant accompagné par un coach de vie, ou en utilisant toute autre thérapie, comme la résolution émotionnelle (une grande aide pour moi, au quotidien !)

Pour vivre pleinement sa vie dans le présent, il est donc important de faire la paix avec son passé, de lâcher ses béquilles, de reconnaitre ses responsabilités dans la vie présente, sans toujours s’en défausser par des excuses liées au passé. Sans toujours ressasser les « et si j’avais fait comme ça », « et si nous n’avions pas fait cela » , »et si nous n’étions pas partis »… Parfois cela demandera du temps, dans tout les cas cela demandera d’utiliser sa volonté et son intelligence.

Avec la résolution émotionnelle, nous libérons les nœuds émotionnels, libérons l’inconscient aussi, des liens se font, des liens s’éclaircissent. C »est impressionnant parfois de voir comment une personne se sent libérée après une séance, et souvent surprise des sujets abordés alors que cette personne n’avait aucune envie d’en parler ou n’imaginait même pas en parler comme ça ! Et chaque émotion résolue, chaque nœud défait, en lien avec notre passé, aide à avancer sur notre chemin de vie et donc à vivre dans le présent !

A partir du moment où la décision de vivre pleinement sa vie ici et maintenant est prise, alors chaque décision vous guidera vers plus de liberté intérieure. Parce que c’est de ça qu’il s’agit, reprendre sa liberté intérieure et devenir adulte. Cela demande du courage, mais je sais que vous en avez au fond de vous !

Hier était l’histoire, demain sera un mystère, aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle présent.
Photo de abdullah . sur Pexels.com

Une astuce qui m’a aidée à démarrer ce chemin intérieur : chaque soir, dire ou noter trois choses belles, positives, heureuses, ou trois réussites, vécues dans la journée. Et chaque jour, même parfois les plus sombres, je trouve trois choses où je peux dire merci d’avoir vécu cela ! Comme la beauté d’une fleur sur mon balcon, ou la réussite d’un ami, ou le sourire d’une personne croisée… Et dans les bons jours, cela peut aller même au-delà de trois. Essayez, et dites-moi ce que cela génère en vous. Et si un jour je n’arrive pas à le faire, pas d’auto-flagellation, je ferai demain !

Mon passé ne me définit pas, mon passé m’aide à me construire, mon passé n’est pas mon présent, je prends la responsabilité de ce que je vis aujourd’hui. Je choisis de vivre dans le présent !

En tant que praticienne en résolution émotionnelle, je peux vous aider à faire la paix avec votre passé, à vous libérer des nœuds émotionnels qui sont liés avec vos évènements passés et à avancer sur votre chemin intérieur.

Prenez soin de vous, et bon chemin au présent !

Magaly

Choisir l’amour !

Choisir l’amour c’est choisir de faire le bien.

Pas que pour les autres, mais aussi pour soi. Surtout pour soi !

Faire le bien, c’est être tendre avec soi, s’écouter vraiment, se reposer régulièrement, oser se faire aider, décider d’aller vers le meilleur pour soi, de faire au mieux, de se dépasser, de vivre pleinement sa vie.

Vivre sa vie, c’est vivre chaque jour intensément, comme un nouveau jour chaque jour. Vivre sa vie, c’est se regarder en face, c’est s’accepter tel que nous sommes, c’est arrêter de se comparer aux autres, qui ont leur propre vie à mener.

Choisir l'amour, vivre sa vie, faire le bien... 

Quand j’ai commencé à travailler sur moi, quand j’ai commencé ce voyage intérieur pour mieux me comprendre, mieux me connaitre, je n’étais pas très douce avec moi, je ne choisissais pas le bien pour moi. En fait, je choisissais le bien pour mes enfants, mes amis, mes proches, parfois même pour des gens que je connaissais à peine. Parce que j’avais peur de ne pas être aimée si je ne faisais pas pour eux. Je faisais pour eux, mais je m’oubliais souvent. Depuis, je fais pour moi, je choisis le bien pour moi, et le bien pour eux, sans m’oublier. J’y arrive presque tout le temps, je me rends compte cependant très rapidement, quand je ne le fais plus ! Et je continue d’avancer, je continue d’apprendre et de grandir, pour devenir l’adulte que je veux être.

Cela fonctionne aussi avec les pensées. De belles pensées, tournées vers le bien, vers l’amour, me font me sentir bien. Quand je ressasse des pensées noires, je ne me sens pas bien. Comme vous, vous allez me dire ! Ces pensées ne sont pas des pensées d’amour. Elles me tirent alors vers le bas. Si je n’y prends pas garde, je peux vite me retrouver dans une spirale infernale et chuter.

Choisir l’amour et faire le bien se lit dans les messages, se lit dans les yeux, se ressent aussi. C’est au-delà de la bienveillance. Plus fort, plus profond.

Quand j’ai un doute sur mes choix, je prends un temps pour écouter mon corps, surtout mon ventre. Si je suis dans le bon, je vais ressentir mon ventre détendu. Si je suis dans le mauvais, je vais ressentir des tensions, peut-être un nœud au ventre, ou me sentir barbouillée, ou l’estomac lourd… cela peut aussi peser sur mes épaules. C’est intéressant de regarder comment notre corps réagit. Encore faut-il avoir accès à nos ressentis corporels.

La régulation des émotions avec la méthode EmRes aide à ressentir les sensations corporelles liées aux émotions qui nous traversent. Petit à petit, nous pouvons mieux ressentir dans notre corps, avec plus de finesse, cette sensation de bien ou de moins bien, de tension ou de détente. C’est une bonne hygiène de vie à adopter.

Offrez vous de l’amour, vivez dans l’amour !
Photo de How Far From Home sur Pexels.com

Parfois, cela demandera de faire des sacrifices, parfois cela demandera du courage, de la persévérance, parfois ce sera même plus dur de choisir le bien que le mauvais. Oui, c’est plus facile de tomber dans la simplicité du mauvais, par habitude, par connaissance (l’inconnu fait peur, le connu rassure même quand nous sommes mal), par peur du changement… et tout une multitude d’autres raisons (excuses ?) Dans tous les cas, chaque fois que vous choisirez le bien pour vous, l’amour pour vous, vous ferez du bien autour de vous. Pas à tous, malheureusement. Car certaines personnes vivent dans un schéma de victime, et ont besoin de l’autre pour exister. Donc cela peut arriver qu’en choisissant l’amour pour vous, vous disiez non à une relation, à une situation, à une invitation…

Apprendre à s’aimer demande aussi du temps parfois. S’aimer intérieurement, s’aimer physiquement, dépasser les préjugés, dépasser les « normes », accepter son corps, ses valeurs, ses opinions. Aujourd’hui je m’aime plus qu’hier, mais pas encore totalement, pas tous les jours. C’est une vulnérabilité, mais je la connais, et je sais qu’en continuant à travailler sur moi, en moi, je vais réussir à m’aimer pleinement, et être détachée du regard de l’autre. J’ai lu sur les réseaux sociaux cette phrase : « L’avis des autres c’est la vie des autres ». C’est vrai, mon avis me concernant importe plus que l’avis des autres, parce que c’est ma vie ! A moi de décider comment je veux la vivre, ce que je veux ressentir, ce que je veux donner…

Simplement, m’aimer un peu plus chaque jour, faire le bien pour moi, pour encore mieux faire le bien pour vous dans mes accompagnements, vous aider à mieux vous connaitre, vous aider à devenir l’adulte que vous voulez être, vous aider à vous aimer pleinement ! Vous êtes unique !

Choisissez l’amour pour vous !

A bientôt,

Magaly

Ce que le corps nous dit

Avez-vous déjà remarqué que certains maux sont des mots criés par notre corps ?

Avez-vous déjà fait le lien entre vos blessures, vos douleurs et vos expériences de vie, vos traumas, vos blessures psychologique ?

Avez-vous déjà ressenti un mieux-être après avoir exprimé ce qui vous pesait et donc vous emprisonnait dans vos douleurs ?

J’ai retrouvé ces mots dans un vieux carnet :

Ce que nous réprimons, s’imprime,
Ce à quoi nous résistons, persiste,
Ce qui nous affecte, nous infecte,
Ce que nous fuyons, nous poursuit

Ce à quoi nous faisons face, s’efface,
Ce que nous visualisons, se matérialise
et ce que nous bénissons, nous ravit !

Ils font sens, encore plus aujourd’hui après le chemin intérieur parcouru. Après ces accompagnements pour m’aider à mieux me connaitre, à mieux me comprendre.

Oui, notre corps nous parle ! Mon corps me parle et me dit ce qui ne va pas dans ma vie. Il me dit quand je ne suis plus alignée avec mes choix de vie, mes valeurs. Malheureusement, cela m’arrive encore de ne pas l’écouter…jusqu’à la blessure !

Ce que j’essaie de vous dire, peut-être un peu maladroitement, c’est que nous pouvons aller mieux, car tout est en nous. Pour cela, nous avons comme boussole notre corps, notre cœur et notre esprit ! (ou corps âme esprit). Quand tout est aligné, nous nous sentons bien intérieurement, les tensions disparaissent, les blessures guérissent, les douleurs s’apaisent, nos pensées sont plus claires, nous faisons preuve de plus de lucidité et pouvons alors choisir avec notre intelligence et notre volonté !

Quand nous nous exerçons à écouter les messages de notre corps, nous pouvons corriger plus rapidement ce qui ne va pas bien dans notre vie, corriger notre trajectoire de vie, prendre les bonnes décisions pour notre bien-être intérieur, et donc aller bien !

Choisir son chemin, corriger sa trajectoire, et prendre la bonne direction !
Photo de James Wheeler sur Pexels.com

Et cet équilibre de vie est régi par notre rythme de vie, nos cycles de vie. Et il est important de penser à y inclure des phases de repos. Comme pour la terre qui est mise en jachère entre les cultures. Pour se ressourcer, reprendre de l’énergie, se nourrir pleinement, remplir notre réservoir de vie, notre réservoir d’amour… et ainsi pouvoir donner. Donner de soi, donner de son temps, donner de son amour, dans sa famille, dans son travail et dans ses cercles amicaux.

Un corps fatigué ne va pas loin.

Un corps fatigué ne nous aide pas

Un corps fatigué est un poids.

Pour éviter d’en arriver à la blessure, à la rupture, à l’arrêt, prenons le temps d’écouter notre corps, de nous remettre en mouvement régulièrement, de nous reposer, de nous nourrir correctement, d’utiliser notre cerveau pleinement.

L’accompagnement, un temps dans notre vie, participe à cette prise de conscience de nos besoins, de nos valeurs, de nos forces, de nos faiblesses, de nos talents, et ainsi de trouver le bon équilibre intérieur, notre équilibre, notre harmonie !

Votre corps vous parle, écoutez-le !

Je peux vous aider,

Magaly

La gestion des émotions

Peut-on gérer ses émotions ? Comment ne plus être sous l’emprise de nos émotions ?

Quand je suis en colère, est-ce que je laisse exploser ma colère ou est-ce que je trouve rapidement les solutions adaptées à la situation vécue ?

Est-ce que le stress m’handicape ? est-ce que face à une prise de parole, je suis bloqué(e) au point de devoir annuler car trop stressé(e) ? comment je me sens avant une réunion où je devrais faire une présentation, devant des clients où l’enjeu est important ?

Est-ce que face à une remarque déplaisante, je garde le contrôle de moi ou je me trouve déstabilisé(e) et je bafouille quelques mots qui finalement n’ont aucun sens, je rougis, je pleure même, parfois, car l’émotion vécue est trop forte ?

Nous ne sommes pas tous égaux face aux émotions qui nous traversent.

Une émotion, quand elle se présente, et ce plusieurs fois par jour, traverse mon corps avant de se dissoudre d’elle-même, normalement ! Permettant ainsi l’accès à mon intellect, mon cognitif, pour agir de manière cohérente et avec lucidité. Et d’analyser la situation sans jugement.

Mais comment faire quand on ne sait pas faire ?

Comment accueillir dans son corps quand depuis enfant on nous dit de ne pas pleurer quand on tombe, ou de ne pas se mettre en colère, ou toutes autres sortes d’injonctions qui finalement ont bloqué l’accès à nos ressentis corporels ?

Beaucoup d’adultes, et même des jeunes adultes, grands adolescents, ont développés des systèmes de contrôle de leurs émotions, consciemment ou pas. Ce qui génère des blocages pour accéder à son corps et surtout à ses ressentis.

Pour répondre à la première question : nous pouvons réguler une émotion, c’est un peu différent de gérer ses émotions, mais par simplification du langage, nous pouvons parler de gestion des émotions. Pour répondre à la seconde question du début, pour ne plus être sous l’emprise d’une émotion débordante et inadaptée, des méthodes existent !

Comment gérer ses émotions ? Des méthodes ?

La résolution émotionnelle ou régulation des émotions. Je pratique la méthode EmRes, il existe aussi la méthode Tipi.

Je vous aide à accueillir vos émotions corporellement. A regarder ce qui se passe en vous quand l’émotion vous traverse et laisser votre corps faire. Les sensations peuvent être désagréables, oui, mais elles passent toutes seules en 1 ou 2 min, sauf si vous ne laissez pas faire votre corps.

Une résolution émotionnelle peut se faire sur une émotion présente à l’instant t, ou après-coup, c’est-à-dire en différé. En une ou deux séances une émotion peut être résolue. Il peut y avoir plusieurs émotions associées à une situation, ce qui demandera plusieurs passages, peut-être plusieurs séances.

Après une séance, vous vous sentirez libéré(e)s ! Et plus lucide pour réagir de manière adaptée.

Libérez-vous de vos émotions désagréables !
(Photo de Mike sur Pexels.com)

C’est tout simplement salvateur !

Ainsi libéré de la charge émotionnelle, une fois que vous aurez appris à faire confiance à votre corps, vous améliorerez vos relations familiales, sociales et professionnelles.

Vous pouvez lire les différents témoignages des mes clients qui ont expérimenté cette méthode.

Je vous accompagne pour vous permettre de vous reconnecter à votre corps, accueillir vos émotions et ainsi être alignés corps cœur esprit !

A bientôt,

Magaly

On ne peut pas plaire à tout le monde

A l’ère des réseaux sociaux, il est difficile de s’extraire de l’image véhiculée et donc du regard de l’autre.

Cette image, est-elle celle que nous montrons à tout le monde que ce soit dans la vie quotidienne et dans la vie virtuelle ?

Cette image est-elle une image travaillée pour plaire au plus grand nombre ?

Cette image est-elle vraie ?

L’image et le regard des autres !

Nous sommes de plus en plus confrontés au regard des autres à cause des réseaux sociaux, à cause de cette communication développée autour de l’image. Ce que je dis sur les réseaux, ce que je montre, ce que je vois, ce que lis… je le sais, ce n’est pas toujours la réalité ! Comment composer avec cette exposition quasi permanente ?

Comment s’en extraire et être soi ? Comment s’en extraire et être unique ?

Et dans la vie professionnelle ? Dans ma vie familiale ? Est-ce que je me montre sous mon vrai jour ? Est-ce que j’ai suffisamment confiance en moi pour ne pas laisser l’autre me définir ?

Je suis confrontée régulièrement à la question de ce qui se joue sur les réseaux sociaux, de cette vérité ou fausse vérité, et j’avoue avoir aussi du mal à m’y faire, à trouver ma place.

Pour certains cela peut être un vrai enjeu ! Paraitre ou être ?

Je préfère être !

Depuis ma naissance je suis et je grandis à travers le regard de l’autre, le regard de mes parents, de mes frères et sœurs, de mon entourage… je grandis grâce à leurs marques d’attention, de leurs encouragements, mais aussi je peux être blessé(e) par un regard réprobateur, un regard accusateur, un regard dur. La posture de l’adulte face à l’enfant en construction participe à son développement.

Le point positif : nous pouvons changer ! Grâce à notre plasticité cérébrale ! Toute notre vie, nous pouvons « reprogrammer » notre cerveau, pour notre mieux-être.

Comment vivre avec la pression de la société, des autres, des réseaux ? Ou plutôt, comment vivre sans se mettre la pression ?

D’abord, en prenant du recul, et en observant qui je suis. Comment je fonctionne, de quoi ai-je besoin pour aller bien… ?

Pour calmer le stress, un des premiers outils est de pratiquer la cohérence cardiaque, trois fois par jour.

Je peux aussi nourrir mon estime de moi afin de faire grandir ma confiance en moi et donc mes relations sociales, personnelles et professionnelles.

Accueillir qui je suis, accepter les moments de solitudes, de silences.

Vivre sans être gouverné par ses émotions, en pratiquant la résolution émotionnelle.

Aller marcher en pleine nature, prendre le temps de contempler les merveilles de la nature, dans un parc en ville ou à la montagne.

S’entourer de personnes avec lesquelles je me sens bien après les avoir vues.

Oser dire non, pour dire un vrai oui.

S’affranchir du regard de l’autre, parce que l’autre ne me définit pas. Même si par un besoin de reconnaissance, j’ai besoin du regard de l’autre, je peux décider de m’en détacher un maximum ou complètement, pour avancer sur mon chemin. En prenant conscience de mes talents, en respectant mes valeurs, et en me choisissant.

Quant aux réseaux sociaux, chacun fait comme cela lui parait bon pour lui. Pour ma part, en ce moment, je m’en éloigne. Sur Instagram je publie moins, partage moins, et je regarde moins. Je préfère communiquer en étant dans une bonne disposition. Et surtout, apporter des pistes de réflexions sur soi, aider ceux qui me lisent à trouver des pistes pour aller bien, partager des outils de travail sur soi. Le manque d’interactions avec les abonnés me questionne. Pourquoi les gens me suivent si c’est pour ne jamais réagir ? Pourquoi je suis un compte si c’est pour ne jamais réagir ? Alors j’ai fait du tri. Je ne suis que des comptes qui me nourrissent, qui m’intéressent, et je tente de réagir le plus possible, afin de créer du lien. Parque ce que c’est ce lien qui va me donner envie de faire vivre mon compte. Ou de le fermer… Je fais à peu près la même chose sur LinkedIn. Et je me pose souvent la question de « pourquoi vais-je sur ces réseaux ? » Le fait d’y aller moins, me libère du temps pour faire autre chose, plus nourrissant : comme du tricot, de la marche, écrire, avancer sur une formation, apprendre et me perfectionner pour mieux vous accompagner. Et être dans une bonne énergie !

Ce matin, j’ai eu une réflexion par rapport à un message que j’ai lu qui disait « ne pas se comparer aux autres ». Je plussoie ! C’est un peu ce qui se passe à travers les réseaux, se comparer aux autres. Or, cela ne va pas m’aider, cela ne va pas me permettre de me nourrir, de m’enrichir intellectuellement, intérieurement. Ce que je vis n’est en rien comparable à la vie des autres. Et ce que les autres vivent n’est en rien comparable à ma vie. Même si nous pouvons y trouver des similitudes. Par contre, je peux m’inspirer ou inspirer ! Par des témoignages de résilience, de bonté, de réussites, en me réjouissant pour la réussite des autres, en me réjouissant de partager mes réussites ! Sans jalousies, avec bienveillance, avec gratitude. Et je sais que je ne peux pas plaire à tout le monde, et que tout le monde ne me plait pas ! Cela fonctionne dans les deux sens !! Même si j’aime profondément l’humain, la nature, les animaux. Quand mes valeurs ne sont pas respectées, quand dans certaines situations mes valeurs sont mises à mal, je choisis de m’en éloigner.


la recherche de like et autres sur les réseaux sociaux est une fausse reconnaissance ! Je suis plus que ça !
Photo de Cristian Dina sur Pexels.com

Pour en arriver là, j’ai été aidée, accompagnée sur plusieurs mois, voire années. Et je suis remplie de gratitude pour ces aides sur mon chemin, ces belles personnes qui m’ont comprise et m’ont accompagnée en m’aidant à croire en moi. Et aujourd’hui, c’est moi qui accompagne les adultes qui cherchent à mieux se comprendre, qui ont choisi de vivre leur vie, de prendre leur vie en main et de s’aimer.

Je vous souhaite un beau chemin intérieur, pour ne plus dépendre du regard des autres, pour être pleinement vous, avec vos talents pour vous réaliser et vos valeurs pour guide dans cette réalisation.

A bientôt,

Magaly

L’amour de soi

L’amour de soi passe par le respect de soi  » je me respecte, je respecte mes valeurs et je fais en sorte que je sois respecté(e) et que mes valeurs soient respectées. »

Il est maintenant reconnu que pour aider les autres, il est important de m’aimer d’abord et d’aller bien.

Pour m’aimer, j’ai besoin de me comprendre, de comprendre comment je fonctionne, quels sont mes codes dans ma vie familiale, sociale et dans ma vie professionnelle, quels sont me besoins.

Et donc pour savoir ce dont j’ai besoin, je vais regarder ce qui me nourrit, ce qui va me permettre de remplir mon réservoir, d’énergie et d’amour, et aussi d’accepter de recevoir pour pouvoir mieux donner de moi, de mon temps, de mon énergie.

Je ne peux pas aider les gens si je ne suis pas bien. Je peux aider mon entourage, ma famille, mes amis, mes collègues quand je suis bien, quand je vais bien ! C’est-à-dire quand mon réservoir d’amour, d’énergie est plein ! Un réservoir vide apporte de la fatigue, de la déprime, une dépréciation de soi et un repli sur soi. Et à l’inverse un réservoir plein procure de l’énergie, de la confiance en soi, me fait me sentir aimé(e) et permet le don de soi.

L’amour de soi c’est m’accueillir avec mes qualités et mes défauts. Facile à dire, moins facile à faire ! En prenant le temps de m’observer, de faire une analyse objective des mes qualités et de mes défauts, je me rends service. Sans jugement, sans mensonge, sans orgueil et sans déni. Un regard juste sur moi. Pour cela, une aide extérieure et bienveillante peut être utile.

Ainsi, je peux accepter d’être unique, d’arrêter de vouloir me conformer à l’image que la société attend de moi. Je suis ! Et c’est déjà bien assez. Pas besoin de faire plus pour être plus ! Je ne suis pas ce que je fais, mais mes actions peuvent parler de moi. Etre vrai dans ce que je fais, dans ce que je dis c’est aussi ça me respecter.

Ainsi, en arrêtant de vouloir être comme, je deviens moi !

Il est alors plus facile de faire ce qui est bon pour moi. Comme savoir dire non, oser dire non, oser dire un vrai oui !

Je peux alors décider de changer ce qui peut l’être si cela ne me correspond plus. Changer mon lieu de vie, changer ma décoration, changer mon alimentation, changer de loisirs, changer de voie professionnelle, changer mes comportements, décider de me faire aider pour guérir mes blessures pour arrêter de reproduire des schémas douloureux…

Ce qui est bon pour moi maintenant, ne le sera peut-être plus dans 5 ans, je choisis d’accepter ces changements dans le temps, pour mieux vivre chaque instant, sans pression. Enfin, avec moins de pression ! Car certaines décisions peuvent mettre beaucoup de pression, ou nous nous mettons beaucoup de pression face à des situations qui nous paraissent infranchissables telle une grande montagne, alors qu’en réalité c’est un petit vallon à franchir.

Je peux garder en tête qu’une bonne décision c’est celle qui me correspond à l’instant t, demain sera un autre instant t avec d’autres variables, d’autres contraintes, d’autres envies… Et c’est juste !

Dans ce cheminement intérieur, j’ai besoin d’être écouté(e). Ecouter c’est se mettre à l’écoute de l’autre, celui qui se livre, celui qui a besoin de se dire, sans jugements, sans l’interrompre, sans chercher à répondre, sans rebondir sur mon histoire de vie, avec des silences, avec des rires, des larmes, avec patience, avec bienveillance. Etre écouté(e), c’est pareil mais en sens inverse. Et là, il n’est pas toujours facile de trouver une bonne écoute. Mes amis, ma famille, mes collègues, malheureusement, ne sont pas tous doués pour bien écouter. Cette écoute je peux la trouver auprès d’un professionnel dans l’accompagnement, ou dans la thérapie individuelle ou de groupe.

L’amour de soi c’est être un(e). Etre un(e) c’est habiter mon corps, c’est être à son écoute, se mettre en mouvement, être aligné(e). Je suis un tout. Me mettre en mouvement m’aide à libérer et à fluidifier mes pensées. Le mouvement m’aide à rester en bonne santé.

S’aimer soi-même c’est accepter les hauts et les bas, les moments de joie comme les moments de tristesse. La différence après ce cheminement intérieur, c’est que je serai mieux équipé(e) pour affronter les difficultés de la vie, pour rebondir après les coups durs, pour réagir de manière plus adaptée face aux situations qui se présentent à moi. C’est devenir résilient !

S’aimer pour être libre, et s’offrir une infinité de possibles !
Photo de Abhiram Prakash sur Pexels.com

Je suis écouteuse, je suis accompagnante, et je peux vous aider à faire ce chemin intérieur ! Parlons-en ensemble, appelez-moi !

Je vous souhaite beaucoup d’amour !

Magaly

Le temps, notion et perceptions

La notion du temps est très subjective. Je parle du temps temporel, pas de la météo !

Subjective car dépendant grandement de soi, de son vécu, de ses attentes, et donc de sa perception.

Dans beaucoup de situations, nous avons besoin de temps :

  • du temps pour guérir
  • du temps pour faire son deuil
  • du temps pour prendre soin de soi
  • du temps pour apprendre, pour se former
  • du temps pour expérimenter
  • du temps pour faire une pause
  • du temps pour être soi

Pour guérir de nos blessures profondes, de nos traumatismes, oui, le temps apaisera nos blessures certes, mais combien de temps nous faut-il, ça c’est propre à chacun.

Pour guérir un rhume, il faut quelques jours, et du repos. Pour guérir d’une entorse, quelques semaines, du repos au début et de la mise en mouvement après. Pour guérir d’une blessure d’abandon, ou de rejet, ou de trahison… il faut plus de temps, des années parfois, et de l’aide souvent. A ce sujet, je vous invite à lire le livre de Lise Bourbeau « les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » . Les 5 blessures : abandon, injustice, trahison, rejet et humiliation. Et bien sûr à vous faire aider auprès d’un professionnel qui saura vous écouter.

Pour faire son deuil, nous avons là aussi besoin de temps, et ce temps est relatif et aussi propre à chacun. Nous avons besoin de passer par des phases, par forcément toutes avec la même durée. Les 7 étapes du deuil : le déni, la colère, la tristesse, le marchandage, la dépression, l’acceptation, donner du sens. Cela peut prendre quelques mois, voire des années. Une aide psychologique est parfois nécessaire, parfois une aide ponctuelle avec une thérapie brève comme la résolution émotionnelle (méthode EmRes), ou l’EMDR, ou l’EFT. Là aussi, l’écoute est fondamentale.

Du temps pour prendre soin de soi ! Déjà, comment prendre soin de soi ? Dans mon article sur la paix intérieure, je vous donnais quelques pistes. Prendre soin de soi, c’est s’offrir un moment dans la journée, dans la semaine pour nourrir son corps, son coeur et son esprit : 30 minutes de lecture, 30 minutes de marche ou de mise en mouvement, 5 minutes de respiration en conscience (la cohérence cardiaque est tout indiquée), 30 minutes de création (dessin , écriture, couture, tricot, écouter de la musique, jouer de la musique…), 30 minutes pour boire un thé et partager un moment avec un(e) ami(e)… Si 30 minutes sont trop, commencez par 10 ou 15 minutes ! Cela peut être de remplacer un temps perdu comme celui de flâner sur les réseaux sociaux sans but précis, comme regarder une série ou des vidéos juste pour passer le temps… Cela peut être aussi de faire des soins pour soi : un masque pour son visage, pour ses cheveux, un massage, (l’auto-massage du visage ou des pieds fait un bien fou !!), préparer son repas en conscience, en étant dans le moment présent (je coupe mes légumes, je sens la texture de la tomate, les aspérités de la peau de la pomme de terre, j’entends l’eau qui bout, je sens les odeurs du thym…). Le tout est de le faire avec bienveillance, sans culpabilité, parce que nous avons tous droit à ce temps pour soi, juste pour soi !

Apprendre et se former ! J’aime apprendre, j’aime découvrir de nouvelles activités, acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles compétences. Nous sommes dotés d’un cerveau qui nous permet d’apprendre tout le temps ! Et apprendre demande du temps. Se former à une nouvelle technique demande du temps. Certains apprennent plus vite que d’autres, c’est juste. Chacun son rythme ! Sans pression (hormis celle des exams, qui est en soi déjà bien suffisante !) S’offrir ce temps pour se former, c’est s’offrir un cadeau. Si vous ne vous plaisez plus dans l’activité que vous exercez, et que vous souhaitez changer, offrez vous ce temps de la formation, pour vivre une belle reconversion professionnelle. En acceptant que cela demandera quelques jours pour certaines formations (3 à 5 jours en 2 fois) ou quelques semaines, voire une année ou 2 selon les études choisies.

Après ces temps de formation, il y a le temps de l’expérimentation, la mise en pratique… et là aussi, c’est très subjectif et dépendant de chacun. Nous ne fonctionnons pas tous pareil. Soyons bienveillants avec nous-même !

Vous l’aurez compris, le temps est une notion très subjective. Quant à sa perception, elle l’est tout autant ! Une heure en réunion hebdomadaire, en fin de journée alors que vous rêvez de rentrer chez vous, où les sujets sont traités et retraités et où les solutions ne se décident pas, peut paraitre beaucoup plus long qu’une heure passée à lire un livre passionnant ! J’avais lu un texte sur cette perception du temps, où il disait que la minute où tu rates ton train et plus courte que la minute d’attente où tu retrouves la personne aimée. Il s’agit donc plus ici d’une notion de durée, et les secondes peuvent parfois semblaient très longues !!

Une pause lecture pour prendre du temps pour soi !
(Photo de Pixabay sur Pexels.com)

Et le temps pour faire une pause est aussi important que le temps pour apprendre. Une pause d’une heure dans la journée quand vous vous sentez débordés, fatigués… Une pause d’une journée dans la semaine ou encore une pause d’une semaine ou deux ou trois pour recharger les batteries (c’est à ça que servent les vacances, oui !!) Et parfois, nous avons besoin de prendre une longue pause, pour vivre un tournant important dans notre vie, faire une reconversion professionnelle, se remettre d’un burn-out, se relever après un choc psychologique comme la perte d’un être cher, ou un accident, ou une agression. Cette pause, je l’ai prise, elle était plus que nécessaire. J’étais dans un état de fatigue très avancée, un burn-out, une très grande lassitude… Et pendant cette pause, d’abord j’ai pris soin de moi, beaucoup, non sans culpabiliser au départ, mais avec bienveillance et le plus de douceur que j’étais capable de me donner à ce moment-là ! Je me suis donné le droit de panser mes blessures, de vivre la fin de mes deuils, de me reposer. Et puis j’ai commencé ma reconversion pro et je me suis relevée ! De formations en formations, d’expérimentation en expériences, de liberté en moments de joie profonde ! J’ai avancé, et je continue d’avancer. Avec le temps…

Du temps pour être soi ! Ce temps-là est le plus difficile à chiffrer tant il est dépendant de ce qu’on met en place pour être pleinement soi, pour se donner la liberté d’être soi. Cela demande pour beaucoup, un travail d’introspection, d’être accompagné, de décider de faire ce parcours et cela peut prendre toute une vie ! Etre soi, c’est apprendre à se connaitre vraiment, comprendre son mode de fonctionnement, accepter de retirer les étiquettes que nous ont donné les personnes de notre enfance, adolescence et même en étant jeunes adultes. En pleine phase de construction. Prendre le temps d’être soi c’est prendre le temps de regarder en soi, d’écouter notre petite voix intérieure, de prendre conscience de ce qui fait battre notre cœur, de nos rêves, de nos besoins. C’est reconnaitre ce qui demande à être changé, et ce qui demande à être conservé voire expansé.

En tant qu’accompagnante, je vous propose mon expertise pour vous aider à cheminer vers vous, pour vous aider à libérer vos blocages, à trouver avec vous ces espaces temporels dont vous avez besoin, à mieux comprendre votre hypersensibilité et votre atypie, à retrouver votre sérénité et équilibre intérieur afin d’être enfin en harmonie. Pour plus de renseignements, vous pouvez visiter mon site ou me contacter.

Que le temps soit le plus doux possible pour chacun de vous !

Magaly

Revenir au corps

Revenir à soi, c’est aussi revenir au corps, car nous sommes des êtres incarnés. Et donc cela nous permet d’être aligné !

Nous sommes un tout : corps – cœur – esprit !

Quand nous commençons un chemin vers soi, il est important de passer par le corps et pas que par la tête !

Je m’explique.

Nous avons tendance aujourd’hui à tout analyser, à tout intellectualiser, pour comprendre, décortiquer les causes des traumatismes passés, pour expliquer les réactions d’aujourd’hui, pour trouver des solutions pour se sentir mieux. Et c’est très bien, en soi. Sauf qu’il ne faut pas en rester là. Revenir au corps, c’est ressentir en soi tout ce que cela fait vibrer, où ça coince, les nœuds, les tensions, les expansions aussi, là où tout est apaisé…

Nous sommes un tout, et pour cela le passage par le corps aide à (re)trouver l’apaisement recherché.

Des outils nous aident, notamment la cohérence cardiaque.

Connaissez-vous ?

Il s’agit de respirer en conscience, sur un tempo donné.

  • 5 secondes d’inspiration
  • 5 secondes d’expiration
  • pendant 5 minutes
  • 3 fois par jour

Le mieux est de la pratiquer dans un lieu calme, où vous ne serez pas dérangés, en étant assis ou allongés (je le fais le soir dans mon lit avant de dormir !)

Un autre outil est la régulation des émotions (ou résolution émotionnelle). D’ailleurs, comme je le disais dans ma présentation, je vais me former à cet outil mi-octobre. Je serai alors plus à même de vous en parler plus en détail. Ce que je peux vous dire pour le moment, c’est que cette méthode permet de libérer les nœuds émotionnels, récents, actuels ou passés. En revenant au corps, nous nous libérons de l’emprise du mental et nous aidons notre corps à accueillir les émotions et les dissoudre.

Cela ne veut pas dire que nous n’en ressentirons plus, cela veut dire que nous diminuerons voire ferons disparaitre les réactions émotionnelles liées à des souvenirs douloureux.

Je vous en parlerai plus longuement dans un article dédié, en attendant, vous pouvez découvrir ce qu’est la méthode EmRes sur le site Institut santé émotionnelle.

Pour revenir au corps, ce que je mets en pratique dans mes marches thérapies, c’est se mettre en mouvement ! Et se connecter à ses sens.

Un exercice que j’aime faire lorsque je suis en forêt, c’est de me poser quelque part au calme, de fermer les yeux et d’écouter les sons qui m’entourent : le vent dans les arbres, l’eau qui coule, les chiens qui aboient au loin, le bruit de la circulation routière sur les grands axes proches, les promeneurs qui parlent, les oiseaux qui piaillent… vous avez compris ! Nous avons 5 sens, la vue prédomine pour nous orienter, nous diriger. Nous en oublions les autres. Faire des exercices pour se reconnecter aux sens aide à revenir au corps, à nos ressentis, et donc à soi. Et ainsi, mieux se connaitre, découvrir ce qui peut nous heurter, nous agacer, ou au contraire nous apaiser, nous réjouir, nous ressourcer… C’est très puissant !

Se mettre en mouvement, revenir au corps, et être bien
Photo de Taryn Elliott sur Pexels.com

Et se remettre en mouvement, par la marche en douceur, ou le sport plus intense, permet de fluidifier nos liquides, réveiller nos muscles, oxygéner notre cerveau. Que des bienfaits ! Attention toutefois, si vous ne faites pas régulièrement du sport, reprenez en douceur et si besoin, faites vous accompagner.

En tant qu’accompagnante, je vous propose mon expertise pour vous aider à cheminer vers vous, pour vous aider à libérer vos blocages, à vous remettre en mouvement, à mieux comprendre votre hypersensibilité et votre atypie, à retrouver votre sérénité et équilibre intérieur afin d’être enfin en harmonie. Pour plus de renseignements, vous pouvez visiter mon site ou me contacter.

Avec toute ma bienveillance,

Magaly